Émile Ntamack Origine Parents – Les Ntamack doivent en grande partie leur forme actuelle au temps qu’ils ont passé dans la “ville des roses”. Francis commente le développement précoce de son neveu Romain dans une interview au Midi Libre, en disant: “Je suis très heureux de le voir évoluer en 10, son poste préféré.” Il a un bon toucher sur ses pieds et sait comment basculer les choses entre la courte et la longue distance. Après leur match de Coupe du monde 2019 contre l’Argentine, les suggestions des fans ont déclaré: “Il a une bonne lecture de l’adversaire.”
Romain Ntamack possède des qualités qui lui valent pour l’instant la confiance de Fabien Galthié. Le bras droit d’Antoine Dupont a actuellement des kilomètres d’avance sur Matthieu Jalibert et ne montre aucun signe d’abandon. L’esprit guerrier du Ntamack n’est pas étranger à ce milieu. Un jeune félin débordant d’ambition est né de la panthère noire. Une aspiration qui ne peut se réaliser qu’en s’inscrivant dans la dynamique d’équipe qui semble se nouer autour de lui, pour le plus grand plaisir des supporters français tombés sous le charme de la nouvelle “belle gueule” du rugby français.
Le rugby est roi chez les Ntamack. Les valeurs ovalines sont transmises de génération en génération ; si Émile a fait vibrer les amateurs de rugby à son époque, nul doute que son fils Romain fera de même. S’il continue son travail acharné et que son investissement dans le maillot bleu ne s’épuise pas, il pourrait bien devenir la prochaine égérie bleu-blanc-rouge du rugby.
Longtemps raillé pour son manque d’habileté et d’efficacité, le rugby semble avoir connu une profonde mutation ces derniers mois. Reste maintenant à savoir si le jeune Théo, déjà passé au niveau de l’équipe de France junior, peut rejoindre les rangs de ses prédécesseurs. La famille Ntamack et le rugby : une saga passionnante qui n’est pas encore terminée.
Né à Lyon, Emile Ntamack adopte le patronyme Milou. Son père était un ancien arbitre de football et il a commencé à jouer très jeune aux côtés de ses frères Georges et Francis. Après avoir tâté du football et de l’athlétisme, il met enfin la main sur un ballon ovale de rugby, joué sur un tout autre terrain. Il est immédiatement conquis par l’esprit contagieux du rugby, qui émane des joueurs et des fans partageant un amour commun pour le jeu.
Grâce à son dévouement sans faille et au soutien indéfectible de ses parents, il est capable de s’entraîner dans trois sports différents dès l’âge de dix ans : le football, le rugby et l’athlétisme. Le rugby se démarque. Après avoir rapidement acquis une notoriété, il intègre la formation toulousaine dirigée par Christian Gajan. Il a été recueilli par la famille Perron de Lavaur, un club de la banlieue toulousaine, et maintenant il joue pour eux. Il apprend sa première sélection en équipe de France cadets sous la tutelle de Roger Guiter, son entraîneur et ancien joueur du Stade Toulousain. C’est là que commence son histoire rugbystique.
Il retourne ensuite au Stade Toulousain, où il passe le reste de sa carrière en tant que capitaine et où il amasse un palmarès extraordinaire, notamment en étant sacré champion de France Reichel en 1989 et 1990, champion de France en 1994, 1995, 1996, 1997, 1999, 2001 (finaliste en 2003), champion de France en 1993, 1995 et 1998 et champion d’Europe en 1996, 2003 et 2005 (finaliste en 2004).
Quand il s’agit de sport, c’est souvent une histoire de famille.
Il peut être difficile pour les enfants de parents célèbres de suivre leurs traces et d’atteindre le même niveau de réussite que leurs parents célèbres. Il est également possible que le contraire soit vrai. Beaucoup d’entre eux ont réussi en imitant les méthodes de leurs aînés les plus célèbres. La série d’histoire familiale est présentée en première avec le Ntamack comme premier sujet présenté.
Le Stade de France a une équipe qui les trompe. Émile Ntamack et son fils, Romain, n’avaient auparavant été exposés qu’à une seule équipe. Si la carrière de son père est terminée depuis quinze ans, celle de son fils ne fait que commencer et on lui prédit déjà un bel avenir digne de son paternel. Né en 1999 à Toulouse, Romain représente la relève des stars françaises du rugby. Romain a tout à fait le droit d’essayer d’imiter son célèbre père, qui a porté le bleu, blanc et rouge de France 46 fois entre 1994 et 2000 alors qu’il jouait pour l’équipe nationale XV.
Personne n’avait oublié le grand Émile Ntamack quand le petit Romain a pointé le bout de son nez vers l’équipe de France. La pression sur les épaules du jeune demi-ouvreur ne peut qu’augmenter avec un nom pareil. Théo Ntamack, un jeune joueur, vient d’être appelé en équipe nationale U20.
Alors, d’où Émile Ntamack tire-t-il sa renommée ? Dès le début, elle a eu une carrière mondiale couronnée de succès. Avec 135 points marqués sous le maillot français, Émile Ntamack est à égalité au sixième rang des buteurs français avec Christophe Dominici. Ntamack mène l’équipe de France à la victoire lors du Tournoi des V Nations 1997, inscrivant un Grand Chelem en finale. Il dispute ensuite la finale de la Coupe du monde de football 1999.
Émile Ntamack Origine Parents : Camerounais
Si Romain n’a pas encore connu la joie de marquer un but pour l’équipe A, il a largement contribué au succès de l’équipe de France des moins de 20 ans sur la scène internationale en 2016 et 2017. Après seulement 16 matchs avec l’équipe A, Romain a accumulé 91 points et a été nommé la “révélation de l’année” de l’équipe pour 2019.
Après s’être essayé à divers sports et réalisé que le rugby était son cœur et son talent, Emile Ntamack, dont le père était également un athlète accompli, a décidé de poursuivre ce sport. En 1988, il revient à Toulouse et y débute sa carrière professionnelle. Après cela, les titres ne cessent de s’accumuler sur lui jusqu’à ce que l’équipe de France le serre dans ses bras six ans plus tard.
Du haut de ses 1,49 mètre, “Milou” est immédiatement reconnaissable grâce à son barbiche massif et ses dreadlocks athlétiques. Ntamack est le plus maladroit des joueurs, mais sa vitesse et ses feintes le rendent imparable. Il n’a pas peur du contact physique ni des défis. Il utilise son grand compas pour lier à la main des crochets destructeurs et des piercings de ballons.
Cette qualité se retrouve aussi chez Romain. il choisit toujours d’éviter le contact et de s’appuyer plutôt sur sa vitesse, comme il l’a fait lors du match contre les Gallois au Tournoi des VI Nations 2020, lorsqu’il a enregistré une tentative après avoir intercepté le ballon dans le camp français.
Ce n’est pas seulement son nom de famille ou ses premiers succès dans les catégories jeunes qui ont conduit à présenter Romain comme l’avenir du rugby français. Romain, régulièrement surclassé, découvre l’équipe U20 avant ses dix ans et demi. Quelques mois après avoir fait son équipe U20, il assiste pour la première fois à un match entre le Stade Toulousain et Agen en Top 14.
Lentement mais sûrement, Romain Ntamack devient titulaire du XV du Stade Toulousain. C’est une façon pour lui de “prendre de l’expérience et de sauter dans la cour des grands du championnat” sans avoir à faire face à une pression excessive pour l’instant. Romain semble déterminé à suivre les traces de son père professionnellement et porte son attitude sur sa manche. On peut dire que le jeune Toulousain n’a qu’occasionnellement l’occasion d’engueuler son père, son frère et son oncle.
Plus qu’ailleurs, le rugby dans cette région est une véritable histoire de famille. L’arbre généalogique Ntamack comprend également deux autres rugbymen en plus d’Émile et Romain. La première carrière de Francis a été en tant qu’athlète professionnel et international. Frère d’Emile, il dispute un match sous le maillot bleu un an après la sélection finale d’Emile. Francis Ntamack et son frère ont remporté le championnat de France 1996 en jouant pour le Stade Toulousain.
Le petit dernier Ntamack, Théo, a rendu la famille encore plus farfelue qu’avant. Autrefois hors norme, le jeune Théo évolue avec la jeune équipe du Stade Toulousain. Selon les initiés du club, le descendant de la dynastie a le potentiel d’être au moins aussi bon que ses ancêtres. Cependant, il a encore un long chemin à parcourir et doit suivre les traces de Romain avant de pouvoir espérer égaler Émile.
Cependant, il semble que le dernier arrivé ait bien réussi à passer le cap puisqu’il vient d’être sélectionné en équipe de France U20 et qu’il participera aux tests prévus en janvier 2021. C’est un grand pas pour le jeune Troisième ligne du Stade toulousain, qui a déjà fait partie du Pôle France cette saison.
Francis Ntamack, interrogé par le Midi Libre, a expliqué la propension de sa famille aux titres internationaux : « C’est la passion, on en parle beaucoup avec Émile, Romain et Théo. Notre famille aime vraiment pouvoir s’identifier aux croyances fondamentales du rugby. Stade Toulousain est un nom alternatif potentiel pour le facteur décisif.
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