Elodie Arnould Taille – En sortant, il n’est pas rare de voir de grands groupes de femmes se gonfler comme des ballons. Les hommes ne regarderont plus jamais les sachets de thé ou le Haka pratiqué par les rugbymen de la même manière.
Vous devrez voir le spectacle par vous-même pour comprendre à quel point il subvertit efficacement les stéréotypes masculins. Et si vous voulez y goûter, écoutez notre émission ‘DRLE DE REGION’, qui met en scène Elodie Arnould parmi les Lyonnaises Céline Francès et le jeune Genevois Bruno Peki.
Une brune haute comme trois pommes, avec une silhouette qui bouge dans tous les sens, porte un gilet à paillettes et des oreilles de chat. Non, vous ne quittez pas un concert de K-pop. Mais à la représentation d’Elodie Arnould, un talent qui se hisse au sommet du royaume de la comédie. Sa petite taille et son air toujours enfantin ?
Elle le joue sérieusement. Le Malgache natif du pays de Grenade proclame fièrement : « Je vais faire du châtiment aux pédophiles, mais j’ai presque trente ans » (une référence au fait que les gens à Grenade ont des noms « longs comme des codes sans Fi”).
La jeune femme, malgré sa chevelure électrique et son sourire communicatif, a vécu une vie sans rire. Aussi le plus sérieux de tous. Ecole d’ingénieur, puis génie des centrales nucléaires. Elle méprise joyeusement le monde masculin des codes et des débats de café. Les filles sont si rares là-bas qu’en repérer une vous fait supposer que la secrétaire est présente. Enfin, c’est moi, le fils de la secrétaire.
Le programme d’ingénierie lui a permis de réaliser pleinement son potentiel : Suite à cela, elle raconte à un groupe de personnes réunies autour d’un café : « La seule façon dont j’avais pour me défendre parmi tous ces gars qui adoraient Vanner était d’être pire qu’eux.
Après avoir perdu son emploi à Marseille, elle décide de suivre des cours d’improvisation théâtrale. C’est une découverte choquante. Elle a démissionné. Et commence à écrire. Beaucoup. A chaque fois.
Le banquier hypocrite et le gynécologue sans valeur…
Son sujet de prédilection dans son spectacle qu’elle a joué pendant plus de six mois à Lyon avant de s’installer à Paris ? Il semble que faire la transition vers l’âge adulte pourrait être difficile. Elle a ouvert une porte sur le monde des géants.
Et qui ne lui inspire pas l’envie. On est interloqué lorsqu’elle campe une délicieuse galerie de personnages, tous rencontrés au moins une fois par le lecteur : l’hypocrite caissier de banque, le gynécologue trash, le désagréable conseiller de Pôle emploi.
Lorsqu’une spectatrice part tôt pour aller aux toilettes, elle met immédiatement le public dans sa poche. Complices, nous poufons et adhérons à la fois. Elle sait chanter et danser : « Un peigne, un miroir, pour moi, c’est le concert de ma vie », qu’elle glisse indiscrètement entre deux chorégraphies de Britney Spears.
Des thèmes comme la fin de l’enfance et les relations hommes-femmes ont sans doute été explorés auparavant. Mais Elodie prend le pas de côté approprié. La fin présente des one-liners légendaires.Samedi 13 avril de 14h30 à 16h00, Elodie Arnould sera l’une des invitées de l’émission Grand Studio Humour RTL de Laurent Boyer.
Elodie est-elle vraiment aussi géniale qu’elle en a l’air ? Elodie, malgré son apparence juvénile et sa petite taille, a 34 ans et déborde d’imagination pour vous raconter sa vie de jeune maman, de femme accomplie ou encore d’adulescente (terme qui fait le pont entre « adulte » et “adolescent”). Elodie Arnould nous fait pleurer de rire dans une performance haute en couleurs. Ce comédien pétillant et authentique mérite un jeu complet.
Pour démarrer le mois de février en beauté, Vivre FM a reçu Élodie Arnould en Matinale le 1er du mois pour la voir présenter son émission “Future Grande?” Ne croyez pas son affirmation selon laquelle elle était ingénieure à la division mécanique d’EDF ; allez plutôt voir son spectacle Apollo Theatre, où elle présentera un spectacle “déjant[e] et plein d’innocence”.
Elodie nous a conquis par son authenticité, son sens de l’humour, et son parcours atypique, qui pourrait bien servir d’inspiration à d’autres face au sexisme dont elle est souvent victime, ainsi qu’aux préjugés fondés sur son petite taille et l’esprit enfantin qu’elle a voulu conserver.
Qui d’entre nous n’a pas rêvé de tout plaquer pour poursuivre le rêve de sa vie ou pour échapper à la monotonie du quotidien ? Notre invitée spéciale, Elodie Arnould, fait des vagues depuis un certain temps maintenant en tant qu’ingénieure mécanique en formation.
Elle s’est produite plus de 200 fois à Lyon, et maintenant elle apporte son spectacle à Paris dans le but d’obtenir une plus large reconnaissance. Cette résolution finale est conçue pour dépeindre l’image idéalisée de la jeunesse, de la naïveté et de la légèreté de la bande dessinée.
Si le passage d’une formation d’ingénieur à la comédie peut surprendre certains, Élodie Arnould souligne que de nombreuses personnes ont changé de carrière pour se concentrer sur la comédie. La carrière de notre invité spécial, aussi remarquable et unique soit-elle, n’est pas singulière.
Dans sa performance, la jeune femme réfléchit sur un quotidien qui reflète vraisemblablement celui de nombreux jeunes qui, loin de leurs rêves d’enfant, doivent affronter les dures réalités de l’âge adulte.
La comédienne s’adresse également à ce groupe démographique par le biais des médias sociaux, où elle publie des vidéos originales. Ces nouvelles plateformes sont déjà monnaie courante sur le lieu de travail et constituent un canal utile pour se faire connaître auprès du grand public et des jeunes en particulier.
La différence est un sujet qui touche directement l’original malgache à plusieurs égards, notamment sa double culture (un juste milieu entre le malgache et le français), son parcours iconoclaste et le fait qu’il est nettement plus petit que l’humoriste moyen. Cette qualité physique remarquable la plus récente justifie de le prendre régulièrement dans son enfance. alors on peut se demander si l’une des façons de mieux vivre la diversité est de ne pas cultiver et nourrir un “enfant intérieur”.
Et la vie lui a épargné assez d’histoires et de blagues à raconter ! Elle doit composer avec les pressions de l’âge adulte et de la « femme accomplie », ainsi qu’avec la misogynie dont elle est parfois victime, ainsi qu’avec les stéréotypes sur sa taille et l’esprit enfantin qu’elle espère entretenir.
La comédienne défend son féminisme révolutionnaire, bien qu’elle ait passé de nombreuses années entourée d’hommes en tant qu’ingénieur et qu’elle essaie maintenant de se tailler une place dans la scène de la comédie à prédominance masculine en France.
Elodie Arnould est une comédienne née à Grenoble et qui s’est récemment fait un nom dans les scènes d’humour de Lyon et de Clermont-Ferrand. Le titre de ce premier grand spectacle de la comédienne laisse présager un bel avenir.
Messieurs, vous n’avez qu’à vous serrer les coudes. Cette petite femme attire un public majoritairement féminin et jeune lors des représentations du Théâtre Radiant de Caluire (69 habitants) et de la Maison de la culture de Clermont-Ferrand (63 habitants). Car Elodie Arnould en fait partie. Elle nous a déjà raconté deux fois son âge, ses antécédents et sa vie, alors passons à autre chose.
Un CV bien préparé
Elodie Arnould est une Grenobloise de 34 ans. Elle est née au Mali et, « comme tous les Malgaches », elle agit beaucoup plus jeune que son âge. Ce n’est pas moi qui l’ai dit; elle l’a fait, progressivement, au cours de la soirée. Elle termine son diplôme d’ingénieur à l’INSA de Lyon. Après cela, elle passera cinq ans comme ingénieur chez EDF à Marseille avant de repartir à Lyon.
Elle a expérimenté les jeux de mots à la machine à café et les tics humoristiques avec ses copains au fil des ans. Ses points de départ seront la Graine de star Comédie Club à Villeurbanne et le Boui Boui à Lyon, avant de gagner un véritable essor sur le web et de pouvoir apporter des preuves à l’appui en interrogeant directement le grand public sur les origines de sa renommée. Les fans de vidéos et d’animations en ligne ont fait voler les billets des étagères.
Elle est au centre de l’univers de son spectacle spectaculaire. Sa volonté d’affirmer sa féminité dans un monde majoritairement masculin. Tant dans le domaine de l’ingénierie, où elle était souvent prise plus au sérieux en tant qu’assistante que décideuse, et dans le domaine de la comédie, où les femmes ont besoin de faire beaucoup de blagues pour s’en sortir, c’est vrai.
Elle raconte son histoire sans détour, se plaignant d’abord d’elle-même avant de stigmatiser les moindres tracas quotidiens. Elle organise une jolie collection de photos de contacts administratifs dont les bras s’agitent en l’air au-dessus de sa tête, suggérant une errance agitée. Elodie Arnould élabore soigneusement son gameplay pour faire avancer son récit. Elle divertit la foule avec des chants et des danses, suscitant les acclamations des spectateurs.
Humour chargé de messages
Sa récente transformation en jeune mère est si drôle qu’elle vous fera pleurer. Les détails de sa naissance et des événements qui ont suivi suffisent à faire grimacer certains futurs pères. Le spectacle a une touche d’humour carcéral de temps en temps. Elle utilise ce qu’elle appelle “l’humour potache à message”. En tout cas, les hommes ont tendance à l’utiliser comme une mesure de leur valeur.
ncG1vNJzZmirpaWys7%2FTmqmsmpyktG%2By0WicpaeUnrJurdGnpq6klGLBorXLpZxo