Amira Casar Compagnon – Amira Casar ne pourra jamais oublier cette histoire qui remonte à longtemps. L’actrice s’est livrée à une véritable mascarade en travaillant avec Luc Bondy, le directeur du théâtre, au Théâtre de l’Odéon.
Il arrive fréquemment que des maladies liées au travail deviennent mortelles. Dans un entretien accordé à Augustin Trapenard pour l’émission Boomerang de France Inter, l’actrice Amira Casar, 50 ans, raconte qu’elle a elle aussi vécu des expériences professionnelles désastreuses. Même si sa voix résonne depuis longtemps dans les théâtres et les petites salles – puisqu’elle a tourné avec Anne Fontaine, Valérie Lemercier et Rebecca Zlotowski –, elle a parfois subi des pressions de la part d’hommes pour qu’elle s’exprime.
Après coup, il en a tenu compte, mais c’était trop tard…
“A l’époque, mon travail à l’Odéon avec Luc Bondy [le metteur en scène et producteur suisse décédé en 2015, NDLR.] a été pour moi absolument traumatisant”, a-t-elle déclaré au micro. Après ce travail, j’ai fait une dépression nerveuse. Parce que je crois qu’il me jugeait, qu’il avait des idées préconçues sur moi-même et ma famille, et sur mes origines, qui étaient complètement fausses et trompeuses. Plus tard, il s’est rendu compte qu’il avait pris une fausse photo de moi et s’est excusé, mais il était trop tard. J’ai terminé à Saint-Anne après avoir perdu 8 kg. Cependant, pour une très courte période.
Je ne cèderai pas à lui pour m’écraser !
Elle a finalement réussi à extraire la tête d’eau. De plus, elle trouve du réconfort dans le fait qu’il existe désormais des hommes et des femmes plus généreux et créatifs qui donnent un laissez-passer gratuit aux comédiens. Même en 2009, lorsqu’elle décroche le rôle d’Ans dans le spectacle Les Enfants de Saturne !,
Amira Casar vit une sorte de revanche personnelle ! “Parce que je suis assez forte, je suis soulevée”, ajoute fièrement la superbe actrice. Et je ne le laisserais jamais m’embarrasser. Après, je suis rentier au théâtre. Je suis revenu à Odéon grâce à Olivier Py. Je me suis foulé mes blessures et j’ai travaillé à Londres en même temps. “Cela m’a aussi surpris.”
Amira Casar, 52 ans, et son compagnon ont été aperçus chez un bijoutier spécialisé dans les bagues de fiançailles, selon de nombreux sites d’informations people qui ont révélé l’affaire dimanche. Le prochain mariage de l’actrice a naturellement provoqué l’hystérie sur les plateformes de médias sociaux comme Facebook et Twitter. Elle est célèbre pour son rôle dans La Vérité si je mens.
La bague qui fait comparer les rumeurs…
Le samedi 9 décembre au matin, vers 7h00, les deux hommes se seraient discrètement rendus chez un joaillier réputé de la capitale pour admirer différents modèles de robes de mariée, dont une ornée d’un diamant solitaire, la pierre traditionnelle offerte en cadeau de mariage.
D’après un ami proche, quelques fiançailles
Selon d’autres sources, ce type d’engagement est très probable à présent. “Je ne l’ai jamais connue si amoureuse”, confiait une connaissance de l’actrice française, “Leur relation vient clairement de franchir un nouveau cap” ; ce qui ne démantait moins le sourire radieux qui illuminait son visage à l’extérieur du magasin.
Amira Casar, notoirement discrète sur sa vie personnelle, a déclenché une tempête sur les réseaux sociaux après que l’annonce de son mariage imminent ait fait la une des journaux. “Je suis trop jaloux de son fiancé”, tweete l’un, tandis qu’un autre écrit “Amira Casar + mariage= toutes mes félicitations”. L’agent de l’actrice, apparemment contacté dimanche soir, n’aurait pas voulu commenter. Y a-t-il du vrai dans cette folle rumeur ou s’agit-il de spéculations folles de journalistes à la recherche d’un scoop ?
Dans les industries du cinéma et du théâtre, Amira Casar est un pilier depuis le début des années 1990. Cependant, sa santé mentale et sa carrière n’ont pas toujours été au top, ce qui l’a conduit un jour à l’hôpital.
Amira Casar est arrivée début novembre au siège historique de la marque pour célébrer la réouverture de la boutique Cartier à Paris après deux ans de rénovations. L’actrice a retrouvé pour l’événement d’autres visages célèbres, dont les acteurs Rami Malek et Virginie Efira, la chanteuse Lou Doillon, la reine de la mode Farida Khelfa ou encore la boxeuse Ramla Ali.
Depuis ses débuts dans les années 1990, Amira Casar a su se tailler une place dans le cinéma français et mondial. Après sa prestation remarquée dans le film Cigare au Miel de Kamir Aïnouz en 2020, l’actrice franco-britannique incarne cette année le rôle de Sylvie dans le thriller d’action américain de Tarik Saleh The Contractor. Même si elle semble sourire désormais, l’actrice a vécu une période difficile dans son passé.
Invitée en octobre 2021 dans l’émission Boomerang sur France Inter, Amira Casar avait confié à Augustin Trapenard qu’elle avait connu des périodes professionnelles compliquées, notamment du théâtre. En effet, elle était revenue sur son expérience, plusieurs années plus tôt, avec le directeur de théâtre et réalisateur suisse, Luc Bondy.
Pendant toute la durée de leur coopération, la jeune femme s’était sentie jugée et sa santé mentale avait fini par se dégrader. Parce que je crois qu’il me jugeait, qu’il avait les a priori sur moi et ma familia, sur là d’où je venais, qui étaient totalement faux et mensongers” Mais pour une très courte durée”.
Après cela, l’actrice a pu revenir sur scène.
Amira Casar avait décidé de tout faire pour se remettre sur pied après son séjour à l’hôpital psychiatrique parisien. “Et je ne le laisserais jamais me faire du mal”, dit-elle Augustin Trapenard. En effet, en 2009, elle a exercé une véritable vengeance pour cette expérience antérieure. Elle reprend en effet son rôle d’Ans dans Les Enfants de Saturne ! d’Olivier Py, le théâtre même qui avait chéri son hospitalisation. “Je suis revenue au théâtre.
Olivier Py a fait que je revienne à l’Odéon. Pendant que je guérissais de mes blessures, je travaillais aussi à Londres. Elle avait également été déçue, selon elle. Un joli message d’espoir et une jolie revanche pour la comédienne, qui continue de se produire régulièrement sur scène depuis ce désagréable souvenir.
Cette jeune femme a grandi entre l’Irlande et l’Angleterre avant de s’installer à Londres en 1971. Ensemble, sa mère kurde et son père russe vivent dans une ferme au milieu des chevaux. Alors qu’ellae rêve d’être historienne lorsqu’elle était enfant, elle se fait remarquer par le photographe Helmut Newton sur une plage.
A Paris, la jeune fille trouve du travail comme mannequin pour les maisons de couture Chanel et Jean Paul Gaultier. Lorsqu’elle s’inscrit au cursus Florent en 1989, sa carrière d’actrice débute. L’actrice s’inscrit ensuite au Conservatoire National d’Art Dramatique, où elle fait une brève apparition. Elle fait ses débuts au cinéma dans “Erreur de jeunesse” en 1989, en guise de remarque. Elle apparaît ensuite dans “Ainsi soient-elles” de Patrick Alessandrin (1995).
Mais Amira Casar n’est révélée au public qu’en 1997. Avec “La vérité si je mens!”, C’est grâce à son choix audacieux qu’elle a joué aux côtés de Rocco Siffredi dans “L’Anatomie du diable” de Catherine Breillat. À ce stade, elle promet de suivre l’exemple donné par Ingrid Bergman et Katharine Hepburn et de ne tourner la tête que de manière tordue.
Pourtant, dans le film des frères Larrieu “Peindre ou faire l’amour”, l’actrice se déshabille une nouvelle fois. Vous pourrez également la voir dans leur “Voyage aux Pyrénées”. Elle étonne les réalisateurs par sa polyvalence, apparaissant dans des films tels que “La cloche à sonné” (avec Bruno Herbulot), “Transylvanie” (avec Tony Gatlif) et “Comment j’ai tué mon père” (avec Anne Fontaine). Passionnée d’opéra, la jeune femme joue le rôle d’une chanteuse dans “L’accordeur de tremblements de terre” des frères Quay.
En plus d’être fan du mouvement punk, l’actrice a un faible pour les véritables têtes de mort qu’elle collectionne. Pendant son temps libre, Amira Casar, constamment en déplacement, voyage entre Paris, Naples et Londres, où elle pratique les arts martiaux, l’équitation, la voile et la moto. La superbe Amira Casar élargit ses registres et ses genres en 2008.
Avant de tourner le film choral “Bancs publics (Versailles rive droite)” ou la comédie paysanne “Gaminas”, elle apparaît dans le thriller “Intrusion”, l’inquiétante “Nuit de chien”, et le film d’horreur “Kandisha”. C’est l’actrice française Amira Casar qui s’est fait connaître pour la première fois dans le rôle de Sandra Benzakhem dans La Vérité si je mens. On la voit désormais sur Canal+ dans la série Versailles.
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